Thursday 19 April 2007

Vie personnelle & Vie professionnelle : Je cherche L'équilibre

La pleine réalisation personnelle et professionnelle est sans doute la finalité recherchée de tout être humain. En s'élevant et en regardant tout autour avec une vision d'en haut, on peut se rendre compte que pour une bonne majorité la flèche a tendance à pencher erronément d'un coté au dépends l'autre.

La réconciliation des deux semble tellement périlleuse et le plus souvent l'être humain décide ou bien de vêtir la robe de héros en se sacrifiant sa propre vie pour ce qu'il croit être son propre intérêt, celui des siens ou bien parer la guenille du lâche on abdiquant sa carrière professionnelle pour le bonheur de son quotidien.

Dans le passé, J'ai pris position et j'ai rétrogradé plein de belles choses au nième grade mettant au-devant de la scène mes ambitions professionnelles. Ai-je fait le bon choix, je ne le sais pas et sûrement je ne le saurais jamais. Ma seule certitude est le faite que j'ai laisse plein de belles choses derrière moi mais j'ai réussi gagné de bien belles choses …

Un sentiment mitigé "consolation et désolation": Je regrette mes pertes mais aussi je me régale de mes acquis … Un sentiment qui m'empêche d'analyser une situation passée a un tel point que je n'arrive plus a déterminer dans quel situation je me trouvais … Etait ce vraiment un déséquilibre??? Ou bien simplement une action correctionnelle pour un futur équilibre ???

Bizarre … Je n'arrive même pas a un analyser une situation passée alors dire d'anticiper les résultats d'une situation future …

Conclusion: L'équilibre recherché n'est pas un point fixe, défini et unidimensionnel. Mais plutôt une pléiade d'alternatives incernables, mobiles et variables dans le temps … surtuot indefinissable ...

Wednesday 22 November 2006

La trahison : le comportement humain dans sa forme la plus méprisable … (2)

La trahison me semble la pire des tares humaines, parce que la plus perverse et aussi celle aux conséquences les plus stériles, quand elles ne sont pas destructrices.Qu’il s’agisse, comme suggéré, d’une « composante hibernante » aléatoirement ponctuelle ou bien d’une distorsion malsaine de la structure mentale voire morale de l’individu, dans les deux cas elle ne révèle rien d’autre qu’un dysfonctionnement permanent ou récurrent, ou plutôt une destructuration qui se projette sur le sujet visé (le trahi) selon deux objectifs, au lieu de s’avouer. C’est donc, pour celui qui en use, une manière perverse de dominer sa cible, et par la même occasion d’éviter de se reconnaître dans son « ignominie » (confirmée par toute la mauvaise foi qui généralement s’en suit).

Pour l’exemple de l’adultère, le terme de victime me fait tiquer, et le qualificatif d’innocente plus encore. Deux mots qui valident la déresponsabilisation des acteurs concernés, alors qu’il s’agit en particulier d’une situation où ces derniers seraient sensés avancer selon un plan mature et raisonné. C'est-à-dire qu’il s’agit a priori d’une situation concernant des adultes sensés être maîtres de leurs actions et des conséquences de ces dernières, et donc certainement pas de victimes de quoi que ce soit, y compris de leur cursus ou autres trajectoires existentielles. Car « si j’agis, c’est que j’ai pris la mesure… », sinon c'est que je ne suis pas compétent(e) dans le rôle que je joue.

Dans ce cas contraire – où l’on considère avoir affaire à des victimes - il y a clairement un problème au niveau de la donne : alors c’est pire que ce que l’on pourrait croire en vous lisant, car le souci se situe sur une erreur de casting… et non dans des choix de mauvais scénarios et de l’aptitude ou pas à se redresser de leurs conséquences néfastes.

Behi. Tout ça pour dire que celui qui trahit est un « inadapté » à la situation qu’il vit, voire carrément un « malade » selon les niveau d’atteinte du sujet, mais que celui qui se laisse trahir en est un aussi ; et qu’effectivement, ce sont des situations qu’il est plus facile de reconduire régulièrement que de dépasser, pour deux raisons :
- une question de difficulté dans la clarté de perception et de déchiffrage des échanges humains à la base,
- une question de difficulté à enclencher et maintenir une restructuration de leur mental par les individus concernés, en tout état de connaissance de la complexité de cette tâche une fois le constat de dysfonctionnement effectué.

PS: ce ci n'est pas un oeuvre qu'on pourrait me crediter mais seulement un commentaire d'une certaine Blakisss qui m'a impressionne et que j'ai apres son approbation poste sur mon blog ...

Friday 17 November 2006

اللهم أنت كريم عفو تحب العفو فاعف عني

Et bien j’ai vu cette citation dans un message personnelle sur MSN d'une amie, et je ne vous mentirai pas si je disais qu’elle m’a plutôt interpelle …

Même si la religion est comme la psychanalyse un domaine que je ne maîtrise malheureusement pas, je me permettrai comme même de m’y approfondir pour un petit laps de temps.

J’essayerai juste de visionner cette relation entre l’homme et son Dieu, ou une personne implore le pardon du bon Dieu mais ne fait que attendre « passivement » une réponse qui ne viendrait jamais, du moins aussi longtemps qu’il serait de ce monde … Tout ce qu’il peut se permettre de faire c’est espérer, espérer et espérer que le jour du jugement dernier la miséricorde lui serait accorde.

Mais quelque part, je suis convaincu que le pardon peut être octroyé par le bon Dieu au pécheur mais il y a quelques remarques qu’il serait judicieux d’énumérer:

1 - Il est impossible de pardonner quelqu'un qui refuse le pardon : la repentance du pécheur est la première étape sur la route de la purification. La repentance doit être effectif, sans faille et sincère.

2 - Dieu fait beaucoup plus qu'offrir le pardon. Il offre la justice : non seulement il nous acquitte du poids de ce péché mais aussi le bon Dieu grâce a son infinie miséricorde offre même la réhabilitation du pécheur, et même la justification. Mais cette justification, ne peut être que l’œuvre du repenti lui-même, une sorte d’activité correctionnelle.

3 – Même si Dieu choisit délibérément et sans concession de pardonner notre péché, cela n'exclut pas qu'Il puisse un jour exercer sa justice : Ce qui veut dire la punition se doit être assumée par le repenti ; il doit l’accepter et s’y attendre ...

Pour finir, je dirais que nul n’est parfait, on se trompe tous, on pèche tous, mais le mérite encore ne revient qu’a celui qui essaye de corriger ses erreurs, et décide de se repentir …

Dieu ait pitié de nous sommes si ignorants !!!

اللهم أنك عفو تحب العفو فاعفو عنا

Wednesday 15 November 2006

La trahison : le comportement humain dans sa forme la plus méprisable …

Aujourd’hui j’ai essaye de comprendre une autre forme de comportement humain ... j’ai nommé « Trahison »

J’ai donc posé deux questions:

Est-ce une composante hibernante de la nature humaine qui s’active en présence de certains stimuli et qui est soit refoulée ou bien extériorisée en fonction de la solidité des convictions internes de l’être humain lui-même ? Ou bien est ce une couardise morale, une sorte d’anomalie initialement existante dans la nature humaine ???

Je ne voudrais pas m’étaler dessus, ou bien essayer de psychanalyser la trahison, parce que je n’en ai ni le vouloir ni les atouts pour entreprendre un tel projet … mais par une simple envie de simplification je dirai que ces deux questions représentent en elle-même deux réponses évidentes et une justification incontestable de la bassesse et l’ignominie de la personne qui se permet de plonger dans un tel acte peu importe qu’elle l’est faite de façon délibérée ou bien irréfléchie, secrète ou affichée, passagère ou prolongée …

Dr. Aldo Naouri a dit « Il n'y a pas dans l'adultère un agent actif coupable et une victime trahie ; il n'y a de part et d'autre que des victimes, innocentes, de leurs histoires respectives »
Seulement je me permettrais humblement de lui répondre que le mérite ne revient qu’a celui qui arrive a se relever de cet état d’effondrement …

il y a ceux qui prennent conscience rapidement de cet état et essaye de se relever mais il y a aussi ceux qui y pourriront inconsciemment toute leur vie … Toute leur vie …

Tuesday 14 November 2006

Quand la non - action devient action

L’un de mes plus grands centres d’intérêts ces jours ci tourne principalement autour du discernement de la nature humaine dans sa phase la plus atone …

Je m’explique :

La nature humaine est intrinsèquement déchaînée, prise par une folie intelligente et une fougue passionnelle qui se matérialise essentiellement par ce désir insatiable d’aller de l’avant, d’agir et d’essayer de conditionner tout ce qui autour pour achever un but individuel.

Telle est la nature humaine tel qu’elle avait été conçu et tout autre explication ne pourrait - a mon sens – qu’être une tentative de marginaliser et désocialiser l’essence même de l’être humain …

Du moins telle était ma conception des choses jusqu'à il n’y pas longtemps … En effet, j’ai assiste a l’exception qui a remis en question cette théorie qui j’avais cru pour longtemps figée aussi longtemps que la statuette de Ibn Khaldoun arborera le bout sud de l’avenue Bourguiba … autrement dit autant que je serai de ce monde …

Et bien !!! je viens de voir que « le laisser faire », aussi appelé « indifférence », ou même « insouciance » ou encore plus connu sous le terme « Passivité » pouvait dans sa version la plus velléitaire devenir une action, je dirais même une activité incessante qui dans son immobilité la plus placide arrive a forcer l’issue des situations les plus stable, réussit a chambarder toute une existence (pas évidemment la sienne) …

Heureusement, que même si j’accepte aujourd’hui cette nouvelle définition, je persiste a la pointer du doigt comme étant une aberration et une incohérence de la nature humaine. L’auteur d’un tel mode de vie régit par cette passivité actionnelle, ne fait que continuer sur sa lancée en optant pour une passivité qui ne fera qu’attendre rebondir ses méfaits sur lui-même … Aussi paradoxal que ça puisse paraître, sa perception lui fait croire que cet abandon de soi même, cette cessation de toute action motivée devient une forme de sécurité … une sécurité que si je devais décrire je dirais qu’elle ressemblera a une sorte de fauteuil place sur une bombe a retardement … Le jour qu’elle explosera elle fera tout sauter avec elle …

Je me permets une remarque personnelle pour conclure mon sujet et je dirais : Ca a déjà fait ruiner plein de jolie choses, mais le pire est a venir …

Saturday 11 November 2006

The struggle is nature's way of strengthening ourselves!!!

I don't recall that during my entire existence that life turned her back on me. Today, it happened!!! The way I was hurt was demolishing, it used the blunt edge of the knife to tear my back. I can touch the sore it left on me, but I'm happy, yes I'm!!! I know that every day, I'll wake up, I'll see it and remember all the unbearable pain I felt and I'll remember who did it and how he did it, but I won't bear a grudge, I'll be just grateful ...

I need to live with it, I would like to bypass it but I know that in doing so it would make me so weak ... so weak in front of myself, so weak in front of my family in front of my friends and in front of my enemies those who tried their best to ruin my subsistence ...

Too weak even to survive!!!

Today, I decided that time has come to close that book and move forward, I know that it won't be an easy matter, I know that I lost my target, my ultimate objective, I have no plans ... But I'm not going to table it out, I'll leave the control to someone else ... I'm tired of making plans and strategies, today I'll leave to the nature / God and only - if need be - I'll make from time to time some changes with a very short run effect.I need to see what life is hiding for me ... I'm a believer, Yes I do believe that when it took the most precious and valuable thing from me, it was because it was preparing something better for me ...

Optimism: This is the power of human beings, even in the worst moments of their life, they keep in hoping and hoping that even though they are from inside struggling - God knows to what extent – our fate says that we need to suffer to strengthen ourselves ...

My unique self-evident truth today is that I'm seeing the light at the end of the tunnel, I'll walk away and make it whatsoever it would cost me ...